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De fils en aiguilles

19 août 2008

Mes dernières broderies terminées

Mes dernières créations au point compté

2008_07250051

reflet après la pluie est terminer

2008_07250049

ange sirène

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vase ancien

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impression rouge et verte

Comme vous pouvez le voir, j'ai bien travailler cette année et plein d'autres sont en cour...

                                                Bisous, Nanie

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30 septembre 2007

mes derniers ouvrages

Une branche d'oranger, pas tout à fait terminée, il reste la bordure. Je vais lui faire un petit ourlet avec des jours.


branche_d_oranger

Et pui, j'aime aussi tricoté et je me suis fait ce pull en prévisin d'un hiver plutôt froid.

pull_brique_pour_l_hiver

Ce sont mes deux dernières oeuvres
depuis, j'ai débuée un hardanger
d_but_de_travail

il est loin d'être fini, je vous le montrerai terminer et repasser.

15 septembre 2007

Créativa

J'ai eue le bonheur d'être invitée par crétiva, pour exposée mes oeuvres.



stand_1

stand_2

table_d_expo

fauteil

manequin

panneau_central_d_tail

panneau_central

stand_3

Une exposition qui me permis de me confrontée aux autres brodeuses  et qui me confortat dans le fait qu'il falait que je continue à créer mes modèles.

6 septembre 2007

un marque page

Un marque page en hardanger pour débuter


Sans_titre_Num_risation_37   Sans_titre_Num_risation_38


Bon courrage, Nanie.

6 septembre 2007

Hardanger 1 er cours

Chose promise, chose due, donc voici le 1er cours.

Vous seriez gentils de me dire ce que vous en pensez, cela m'encouragera parce que c'est un travail très long à mettre en oeuvre. Entre savoir le faire et l'expliquer, il y a un grand pas.
J'espère que cela sera clair.

Sans_titre_Num_risation_08


Les pavés alignés

On aligne les pavés de passé plat pour créer des motifs carré où rectangulaires. Sauf erreur de comptage, le dernier pavé doit toucher le premier.

1. Commencer par deux points arrière en laissant un long fils que vous rentrerez par la suite. Broder cinq passé plat par dessus quatre fils.

2.Faite un diagonale sur l'envers et ressortez l'aiguille quatre fils au-dessus du premier pavé. Brodez le second pavé comme le premier et ainsi de suite.

3.Pour l'angle, une fois brodé le dernier passé plat du carré, placez l'aiguille à angle droit et sortez là quatre fils plus haut. Brodez le pavé suivant.

4.Brodez tout les côtés de la même façon en comptant le même nombre de pavés de passé plat par côté, jusqu'a ce que vous soyez revenue à votre point de départ.

5. Glissez l'aiguille sous deux pavés plat sur l'envers et coupez le fil. Défaites les les deux points arrière du début et rentrz le fil sur l'envers sous deux passés plat.

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L'ajourage.

Avant de coupez les fils, finissez les pavés de passé plat et vérifiez qu'ils sont situés exactement les uns en face des autres et que vous n'avez sauté aucun fil. Si vous êtes revenue à votre point de départ, c'est surement le cas. Coupez les fils avec de petits ciseaux pointus et bien aiguidés. Prenez le temps , il est prèfèrable au début de ne coupez les fils qu'un par un pour ne pas faire d'erreur irréversible.

1. Coupez les fils situés entre les passé plats et non ceux placés sur leurs côté. Chaque pavé de cinq point correspond à  quatre fils de toile à couper.

2. Tiré les fils coupés à l'aide d'une pince à fils où si vos n'en avez pas d'une pince à épiler pour dégager un réseau de faisceaux de fils croisés. Dans une bordure en diagonale, ce réseau forme un carré.

L'ajourage des grands motifs.

1 Pour les grands motifs, suivez les fils pour couper leur deux extrémités.

2. Coupez les fils en suivant le bord du motif. Tirez sur les fils coupés pour ne garder qu'un faisceau comme le montre l'example.
Pour les très grans motifs, il est préférable de ne couper qu'au fur et à mesure de l'avancement du ravail.

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Les brides et le point de reprise.

1 Bloquer le fil sur l'envers en le glissant sous deux où trois pavés de passé plat. Faite sortir l'aiguille au milieu d'un faisceau de fils et faites un point arrière par dessus deux fils du faisceau.

2 passz alternativement sur et sous les deux fils en serrant bien chaque point jusqu'a ce que la bride sooit entièrement recouverte. Les points doivent être réguliers et serrés.

3 Faites passer l'aiguille sur l'envers et ressortez- la au milieu du fasceau suivant.Brodez toutes les brides de la même façon et rentrez le fil sur l'envers.

Sans_titre_Num_risation_11

La décoration des brides et des jours

Une fois l'ouvrage terminé, les faisceaux sont brodés au point de reprise ou de surjet.
Cela permet non seulement de le décorer mais aussi de le consolider à l'aide de points bien sérrés.
On obtient une broderie solide et dense à laquelle il est possible de donner un aspect plus raffiné grâce à des ponits de dentelle.

Les brides coordonnées

1 Bloquez les fils sur l'envers et passant sous deux ou trois pavés plat. Placez vos doigts sous la toile pour la tendre légèrement et brodez les fils du faisceau au point de surjet en faisant des points assez serrés.

2 Faites passer l'aiguille sur l'envers entre les brides. Faites le tour du motif et rentrez le fil sur l'envers.

Variation
Brides doubles
brides doubles brodées sur huit fils.


Voici pour aujourd'hui, je pense pouvoir vous en mettre un autre sous quelques jours.

                                Bisous, Nanie et noubliez pas les commentaires....

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28 août 2007

hardenger

 



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Histoire d’HARDANGER

Le Hardanger trouve son origine dans la broderie ajourée, technique apparue en Perse vers le 7 ème siècle. Elle arrive en Europe par les villes portuaires. En Italie, les grandes dames de la noblesse étendent sa renommée sous le nom de «  ruticella » (petit filet) en confectionnant des broderies religieuses.

A partir de l’an 1300, le rayonnement des citées marchandes, comme Venise fera découvrir cette technique jusqu’en Europe du nord.

Ainsi, Au XIIème siècle, un commerce intense s’instaura entre Venise et la Norvège, qui dura jusqu’au XVIème siècle. La broderie ajourée italienne, basée sur des motifs géométriques, séduit les Norvégiens, et plus particulièrement les paysannes de la région du hardanger qui se l’approprièrent en la transformant partiellement. C’est donc tout naturellement que cette broderie fut baptisée « Broderie Hardanger » ( prononcer Hardangueur).

Ces paysannes cultivaient le lin, puis le filait, le tissait et le brodaient pour améliorer un peu leur ordinaire. Dans un musée d’arts populaires de la région, un mouchoir broder par une paysanne dans les années 1840 sur un lin d’une finesse de 27 fils au centimètre, peut y être admirer.

Cette région porte le nom d’un fjord long de plus de 100 kilomètre ; le hardangerfjord. Il est appelé «  le roi des fjords » , car il a pour caractéristique d’être particulièrement large.

Cette région est un véritable verger pour la Norvège : au printemps, cerisiers et pommiers en fleurs bordent le hardangarfjord alors que les sommets encore enneigés se reflètent dans ses eaux profondes, le paysage y est aussi étonnant de beauté que peut l’être la broderie qui y a vu le jour.

Dans cette région, lors de la fête nationale, tous les costumes folkloriques sont broder en hardanger : le tour des manches et les chemises des hommes, celle des femmes ainsi que les grands tabliers qu’elles portent sur leurs jupes longues.

Toutes ces broderies sont réalisées avec du fil blanc sur du lin blanc. On ne trouve pas en Norvège de broderie de hardanger de couleur.

Bien qu’elle fasse véritablement partie du patrimoine culturel Norvégien, cette broderie reste encore très présente à l’intérieur du pays. On la trouve sur des nappes, des napperons et des rideaux, mais aussi sur du linge de lit ( drap, oreiller…). En revanche on trouve peu de modèles ou de magasins spécialisés : cette technique ce transmet de génération en génération. Seule les villes touristiques commercialisent ce type de broderie.

Les brodeuses ajoute de la couleur en brodant sur du lin de couleur avec des fils eux aussi de couleur.

Il est vrai que le blanc sur blanc à encore de beaux jours devant lui, c'est tellement chic....

Et pour celle qui non encore jamais essayées, je vais vous mettre sur mon blog des fiches explicatives.

Ce sera pour la prochaine fois.

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Bisous, Nanie.

24 août 2007

Que peut on faire de ses broderies ?

Et bien moi, à par les présentée de temps en temps dans des expositions, bien sur je fais des cadeaux ( toujours très apprécier) à mon entourage et je décore mon appartement avec les pièces que je conserves.
Il est très petit , mais très coquet. J'aime les belles choses, les beaux tableaux, les beaux objets.
Cela met mes broderies en valeur, bien sur , il n'est pas question de tout mettre au mur, mais de varier.

Comme je viens de refaire à neuf mon tout petit studio et bien j'en ai profiter pour changer tout ce qui était au mur.

24

Fini les fleurs, trop vues, j'ai depuis quelques année dans une malle un superbe panneau au point de croix et bien c'est le moment d'en profiter.
Comme il est gris, j'ai fais de nouveaux coussins avec les visages de mes deux actrices préférées plus un autre que j'adore et qui n'est broder que de perles ce sont des cassis...

marilyn_roseaudrey_noiraudrey_rose

audrey_fond_jaunemarilyn_brun


cassis_de_perles

Voilà, je vous présente le résultat.

  Dites moi, ce que vous en penser ?
coussins

Bisous, Nanie.



23 août 2007

Le Lin

fleur_de_lin

D’abord cueilli dans les régions du Caucase et de la Mésopotamie, le lin vivace fut acclimaté par les Egyptiens qui en firent une plante annuelle.

Jusqu'à l’époque des croisades, le lin des pharaons est considéré comme supérieur à celui de l’Europe Occidentale introduit par les infatigables bateaux Phéniciens.

Grâce à cette matière première exceptionnelle, dès le IV ème Millénaire, les Egyptiens malgré un matériel extrêmement rudimentaire, un métier horizontal sans navette, produisent un linon déjà très fin. Les fileuses du XVIII ème Siècle ne feront pas mieux !

Les pièces de tissus retrouver ne sont pas de grande longueur car les tisserands n’ont pas encore penser à enroulé les fils de chaîne. Seules quelques unes atteignent exceptionnellement six mètres pour envelopper certaines momies royale.

Grâces aux peintures de Beni Hassan où celles rupestres, d’Elkab, on sait comment était cultivée, ramassée, préparée, filée, tissée, la récolte du lin.

Cette fibre est retrouvée dans le temple de Salomon, l’Arche d’Alliance repose derrière un grand voile de lin brodé d’or.

Les Grecs, eux, se vêtent tout naturellement de la toison de leurs nombreux troupeaux.

A Rome, le lin à la mauvaise réputation d’épuiser les sols. Il est néanmoins cultivé sur des terres réputées riche, dans la plaine du Pô, en Campanie et en Esturie.

Ce sont d’abord les prêtres qui selon la tradition se vêtent de tissus de lin, puis les patriciens le mettent à la mode, bien qu’au début cette toile trop fine leur paraisse trop féminine.

C’est sous l’Empire qu’est lancé la ligniculture à grande échelle.

Les meilleurs spécialistes arrivent d’Egypte, l’Occident se couvre alors de linières en Allemagne, en Belgique, en Gaule ou déjà les druides cueillaient le gui habillé de lin. Et Pline de s’extasier devant la belle toile de Cahors « aussi blanche que la laine ».

La chute de l’empire Romain puis les grandes invasions Barbares ruinent partiellement la culture de la plante.

Seul les sarrasins redressent cette industrie, dont la vente des étoffes est assurée par les débouchés de leur marine marchande, qui lance ses voiles jusqu’en Inde et en Chine d’ou ils rapportent épices, coton et soie.

Avec le retour de la paix les hommes redécouvrent naturellement celui du lin.

On réensemence, les métiers a tisser s’activent et les étoffes de lin progressent au détriment des étoffes de laines .

En 760 Charlemagne fonde sans le savoir la capitale du futur marcher linier : Bruges.

En 960, Ypres à son tour apparaît sur les cartes et devient rapidement célèbre pour la fabrication de son linge de table.

A partir du XIIème Siècle, le lin couvre de ses fleurs bleues tout les champs un peu partout en France, autour de Paris, en Anjou, en Bretagne.

On commence également à importer la toile de Flandres et à Courtrai a lieu la première foire au lin.

Au XIIIème Siècle, Baptiste de Cambrai invente de merveilleux tissus aux fils serrés et d’une extrême finesse qui porte toujours son nom , la Baptiste. L’étoffe la plus rechercher est alors tissée a Reims. Elle représente une splendeur telle qu’elle constitue, sous la forme d’une pièce de lin, la rançon envoyée par Charles VI au Sultan de Turquie contre la délivrance d’un Seigneur fait prisonnier.

Lors de la révocation de l’Edit de Nantes les tisserands fuient, ils s’installent en Allemagne, en Angleterre, en Irlande et en Suisses ou l’on tisse depuis le moyen age le plus fin des linons.

Partout où les tisserands protestant émigrent , ils développent l’activité linière.

A leur arrivée en Amérique, les premiers colons avaient reproduit les gestes qu’ils avaient toujours faits. Ils réservent donc un champ à pour le lin et leurs filles apprirent à filer et à tisser.

Puis c’est l’irrésistible ascension du coton distançant à tout jamais les velléités du lin Américain.

En revanche en France, le Siècle s’achève en consacrant sa primauté. Il est récolté plus de 300 000 hectares de lin alors que la production de la toile est encore artisanale.

Chaque ferme où presque possède au moins un métier à tisser, jusqu'à la fin du XIXème Siècle.

Jusqu'à ce que le coton et le linge des grands magasins éteigne à tout jamais leurs fameux cliquetis au rythme si caractéristique.

Le lin le plus fin croit en Europe Océanique le long de la mer Baltique, en Suède, en Irlande, le long de la mer du nord et de la manche et surtout en Belgique.

Il affectionne tout particulièrement le climat de France dans les provinces de l’Artois et de la Somme tandis que le « plus fin des fin »

Se cueille en Normandie, dans le Pays de Caux.

Le lin requiert beaucoup de soins dès sa culture et si l’on y ajoute encore les différents traitements qu’il doit subir avant le filage et le tissage lui même, compliqué par son manque d’élasticité du fil…

rouir :c’est extraire les fibres. Autrefois après avoir égrener les tiges les pailles étaient étalées en demi cercle et laissées ainsi de trois à cinq jours pour les faire « blondir ». Les pailles blondes étaient ensuite liées en petites bottes que l’on entourait de paille de blé pour les protéger, puis on les immergeaient dans l’eau courante, en prenant bien soin qu’elles ne s’appuient ni sur le fond, ni sur les berges.

Selon la température, le rouissage demandait huit à douze jours.

Le rouissage est désormais accéléré en immergeant les pailles dans des bassins de béton remplis d’eau chaude. Quand les pailles sont suffisamment blondes, elles sont rincées à l’air libre. Les bottes sont donc disposées sur le pré de façon à former des cônes appeler « chapelle ».

Les « chapelles » sont laissées là, le temps de prendre une belle couleur homogène.

Le lin roui est alors prêt pour le treillage. Cette phase consiste a séparer par brossage et battage la paille de la fillasse. Autrefois, le treilleur battait le lin avec un couteau de bois jusqu'à ce que les fibres soient complètement libérées de la paille. La fillasse ainsi obtenue était ensuite grattée avec un couteau de fer avant d’être confiée aux mains de la fileuse.

De nos jours, il s’agit d’une opération mécanique. Il reste à séparer la partie noble du lin de l’étoupe et les fibres ainsi préparées sont enfin prêtes à être filée. Le lin treillé ressemble à de long cheveux blond mousseux.

Le lin cultivé est le Linun usitatissimum.

C’est la plante a fleurs bleue intense qui donne les fillasses les plus fines et la toile la plus belle.

Le lin est le support le plus noble et qui donne le meilleur rendu pour le point compté et le hardenger. Son tissage et fort régulier ce qui donne une belle régularitée aux ouvrages.

18 août 2007

Histoire de reflets

dessiner_1948   cavaliers_1946   reflet_1950   reflets_1952

                 Dessiner                      Cavaliers               reflets 1950                    reflets 1952

Feuilletant un livre sur l'oeuvre de M.C.Escher, je ma mis à pensée que certains de ses dessins seraient retranscrits, de bien belles broderies.

Qu'aimerais-je broder, et de quelle manière ?

J' hésite entre plusieurs dessins, "dessiner", " cavaliers", "reflet 1950", et " reflets 1952".

Alors, que faire, je n'ai que deux mains, il faut choisir. J'opte pour reflets 1952.

Passons aux essais, il ne convient guère  pour la peinture à l'aiguille, je vais donc le réalisé au point compté.

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Commencé en Novembre 2005, je n'ai pas réussi à le terminé pour le momment. Il est toujours près de moi,et j'y touche de façon épisodique. Pourtant j'en vois le bout, un tout petit morceau reste à finir.

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Mais lorsque j'en ai envie, il me manque toujours quelque chose.

C'est décider il sera fini pour la fin de l'année.

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Bisous, Nanie.

Ps: si les oeuvres de M.C.Escher vous interressent:http://lesmotsdenanie.canalblog.com/

14 août 2007

La chinoise

Allant un jour chez une amie qui revenait de Chine, Je vis sur ses murs de superbes portraits Chinois.

chinoise_d_originechinois_d_origine

L'envie me vient de les transposés en broderie, " se feraient un fabuleux paravent" Avec l'accord de mon amie, je retranscris sur calque le plus gros du tracé. Je prend les photos pour être le plus prôche de la réalité des couleurs (même si avec le temps, j'interprète à ma façon).

Il n'y a plus qu'a?

Dessiner à l'échelle ( ils font tout de même 80cm de haut ) la retranscrire sur le tissus. Mais le plus long reste à faire.

Oui, je débute par la femme, elle m'inspire plus pour le moment.

Choix des couleurs, des fils, des perles, du tissus de l' incrustation et de l'origamie de tissus qui sera placé au dernier moment "fragile".

J'utilise du Coton DMC mouliné, de la soie de diférente grosseur,Des rayonnes  Madeire ( superbe ), du fils de lin,  des soies aux tons changeants et enfin du DMC métalisé.

le_petit_mat_riel_b

Voilà, il me faut tout ce petit matériel pour venir à bout de cette Chinoise qui sera suivie de son Chinois.

Pour les points, se sera le passé empiétant, le point de tige pour le visage et le point de chainette  pour certain détail du vétement. Pour le moment, il peut me venir d'autres idées en brodant.

_tat_de_l_avancement

Etat d'avancement du projet... Je vous la met en zoom.

encore_plus_gros

J'ai remie le nez decu aujourd'hui même, il y avait un bout de temps qu'elle gisait au fond de ma malle à ouvrages...mais je finis toujours ce que j'ai entrepris. HI HI HI , même ci des fois ça prend du temps...

Je vous tiendrais au courrant de l'avancement de la bête...

                                                                 Bisous, Nanie.

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